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Meilleurs voeux 2013 !
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Margalo ou Pollux, sa tombe est au fond du jardin
Mort d'un cobaye de sept ans.
Il sera dit que la fin d'année 2012 et le début de 2013 auront été marqué par l'hécatombe des animaux de compagnie chez nous :
Après nos deux chats, c'est au tour de Margalo, notre cobaye de s'être éteint, après sept ans de bonne compagnie.
Nous avons encore du mal à faire sans toi en arrivant à la maison (plus de cage, plus de bruit, de petits couinements...), bref, tu nous manques...
Mais sept ans pour une petite bête comme toi, il paraît que c'est pas si mal...
On a pris sur nous de ne pas te faire plus souffrir que ce qu'il était nécessaire...
Bon paradis au manège enchanté, "Pollux", et.. see you later !
Il sera dit que la fin d'année 2012 et le début de 2013 auront été marqué par l'hécatombe des animaux de compagnie chez nous :
Après nos deux chats, c'est au tour de Margalo, notre cobaye de s'être éteint, après sept ans de bonne compagnie.
Nous avons encore du mal à faire sans toi en arrivant à la maison (plus de cage, plus de bruit, de petits couinements...), bref, tu nous manques...
Mais sept ans pour une petite bête comme toi, il paraît que c'est pas si mal...
On a pris sur nous de ne pas te faire plus souffrir que ce qu'il était nécessaire...
Bon paradis au manège enchanté, "Pollux", et.. see you later !
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Time is on my "side"... des nouvelles du Toine.
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Travail en cours ©Rob Ellias/HV |
Rob et votre serviteur s'affairent à vous offrire un petit récit de derrière les fagots pour les prochains mois.
Ne manquez pas les DEUX prochains numéros de "Guère épais" !!
(Et procurez-vous les précédents, pendant que vous y êtes :-)
http://guereepais.over-blog.fr/
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Livres musicaux : la France rattrape son retard
Il aura fallu attendre pas mal de temps (depuis les années 80) pour voir arriver de bons livres en français sur les styles musicaux spécialisés.
Depuis la fin des années 90, de nombreux éditeurs ont ceci dit changé la donne.
On citera entre autres : Camion blanc, Allia, Le Castor astral, Le mot et le reste, et un tas d'autres moins spéciaisés dans le domaine , mais où l'on trouve aussi de belles choses. BJZ, le Serpent à plumes, la Martinière, editions Naïve...
Petite sélection de beaux livres de la fin d'année 2012 :
Blues vinyls
Stephane Koechlin
éditions stephane Baches
Une collection éditoriale (Collection Musiques/Vinyls; déjà 8 titres) intéressante, qui resitue le genre musical dans un contexte particulier : ses pochettes de vinyles. Mais aussi en parcourant son histoire et ses mouvements sous forme de notices éditoriales. Il ne s'agit pas d'une simple compilation de type 10001 records covers (Tashen, Michael Ochs), même si ce bouquin est bien évidemment une référence.
Ici : folk blues, electric, psychedelic, blues boom blanc, blues rock se cotoient au travers de chapitres différents, et l'auteur n'hésite pas à s'attarder sur plusieurs lps d'un même artiste ou groupe.
Reproductions photo format moyen ou grand, mais toutes en couleur.
Reproductions photo format moyen ou grand, mais toutes en couleur.
indispensable à tout amateur de Blues. Oui, vraiment.
FlorentMAZZOLENI
Le Castor astral
On peut-être amateur de musiques africaines sans être ethnologue et traditionaliste.
Ce livre parle du "High life", l'âge d'or de la musique fusion entre tradition ghaneene et européenne/américaine dans les années 50 et 60.
Après le style Ethiopiques, et ses trésors (bien) cachés soul typés on vibrera aux riches documents et belles reproductions de pochettes de ces raretés vinyliques africaines.
Florent Mazzoleni est un expêrt en musiques noires et dansantes.. On peut y aller les yeux fermés.
Didier Maiffredy
Eyrolles
Vous avez déjà eu l'occasion de lire ou feuilleter des livres proposant des reproductions d'affches de concert ? oui, moi aussi ! Surtout axées années 60 psychédéliques. Un peu moins d'autres courant (en français).
On saluera donc encore plus cette initiative de reproduire non seulement un tas de posters modernes (années 80,90,2000), mais en mettant en avant l'aspect reproduction et artistique avec l'approche de la sérigraphie comme seconde thèmatique.
Sérigraphie sur plaques , tissus, papier...
Excellent livre d'art et de genre.
Johan Kugerlberg, Jon Savage
Rizzoli Flammarion
(sous coffret façon kraft, très esthétique, non montré ici)
(sous coffret façon kraft, très esthétique, non montré ici)
Punk press , L'histoire d'une révolution esthétique 1969-1979
Vincent Bernière,Mariel Primois
La Martinière
La Martinière
Deux livres différents pour traiter d'un même genre et d'une même époque.

Le second axe son propos, comme son nom l'indique, davantage sur toute la presse liée au mouvement, et cela en traitant des pays principaux qui ont porté la flamme à la grand époque : états-unis, angleterre, et France.
Revues, (Bomp..et consorts), fanzines, petits et grands, affiches, et extraits d'articles.. c'est un beau florilège qui montre l'underground éditorial.
Bref, un peu dur de choisir. Il faudra acheter les deux.
Nb : si vous aimez regarder de belles pochettes (de CD en l'occurence) : 100 obscure and remarkable CD
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Une pensée ...
"C'est parfois la réalité qui devient rêve
Souvent, j'imagine ce que c'était..."
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Wifi , Mac mini et Mac Lion... sont deux mots qui (ne) vont pas bien ensemble....(quoi que)
(Je surfe à nouveau en wifi dans mon système) (hé hé)
...Pas souvent l'occasion de discuter technologie ici, c'est plutôt l'objet de mon travail. (ateliere2m.org).
...Pas souvent l'occasion de discuter technologie ici, c'est plutôt l'objet de mon travail. (ateliere2m.org).
Mais il se trouve que je suis Mac user depuis 1997, et viens d'acheter mon troisième, (et oui).
Car... utilisant Windows au boulot.. et bien que Seven soit un système correct, je fait encore la différence entre les deux.
Linux et ubuntu sont aussi deux belles bestioles, (j'en utilise une version au travail aussi), mais bref...
Lorsque grâce à un tarif Camif, j'ai pu bénéficier d'un prix correct pour le dernier Mac mini 4 Go (avec clavier) plus un écran Samsung 24 pouces pour moins de 800 €, je n'ai pas hésité. Merde, un bon pc de bureau à jour !!
Bon, vous savez tout.
Le hic, c'est que bien que ma Wifi (de chez Orange) ait bien fonctionné jusqu'à présent sur le Imac G4 Tiger.. aujourd'hui.. plus rien, out !
Cf un article sur Macgeneration : http://www.macgeneration.com/news/voir/216752/lion-le-wi-fi-attend-toujours-son-correctif
J'étais prêt à rendre la petite boite grise, lorsque la solution m'a été fournie par une gentille assistante d'Apple France.
Autant l'assistance Orange m'a beaucoup déçu*, autant là, j'ai eu une bonne réponse technique.
Il s'agit en fait de la clé de sécurité wifi WEP qui n'est plus trop compatible avec les nouveaux Mac.
Il est donc nécessaire de la remplacer par une clé WAP. On peut aussi éventuellement changer de canal.
Alors comment cela se passe ?
Et bien, il suffit de se rendre sur la page d'Orange (ou de votre fournisseur FAI) et de trouver les infos de ce type :
En gros on vous propose de vous rendre sur la page face l'URL 192.168.1.1
et là, on vous demande de vous connecter : admin/admin: Puis le choix vous sera proposé de changer la clé ou le canal.
Vous passez en WAP, donnez un nouveau mot de passe. Réinitialisez la Livebox.. et le tour est joué.
(*) Vous me croirez si vous voulez, mais Orange voulait me facturer ce dépannage par téléphone, arguant que cela n'était pas de leur fait. (…)
Qu'ils aillent se faire f…
Ps : Au fait, il faut quand-même que vous sachiez, si vous êtes "nouveau" sur Mac mini, que le branchement de cette petite boîte peut évidemment se faire sur un écran d'une autre marque. Cela est d'ailleurs un argument de vente sur l'Apple store.
Mais : Mac propose tout un tas de câbles en option, et un adaptateur DVI-HDMI dans la boîte, qui.. ne sert à pas grand chose si l'on souhaite juste brancher un écran. Un simple câble Hdmi-Hdmi (classique) suffira. Il coûte 14,99 € et est souvent placé dans le rayon TV dans les boutiques genre Darty ou Boulanger, Leclerc.. etc.
Cela aura été écrit. A toute fin utile...
Ps : Au fait, il faut quand-même que vous sachiez, si vous êtes "nouveau" sur Mac mini, que le branchement de cette petite boîte peut évidemment se faire sur un écran d'une autre marque. Cela est d'ailleurs un argument de vente sur l'Apple store.
Mais : Mac propose tout un tas de câbles en option, et un adaptateur DVI-HDMI dans la boîte, qui.. ne sert à pas grand chose si l'on souhaite juste brancher un écran. Un simple câble Hdmi-Hdmi (classique) suffira. Il coûte 14,99 € et est souvent placé dans le rayon TV dans les boutiques genre Darty ou Boulanger, Leclerc.. etc.
Cela aura été écrit. A toute fin utile...
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Yoga man : a new comic strip
Débuté en fin de semaine dernière, d'abord comme un test sur Pixton*, Yoga man devient un nouveau personnage, que je vais tâcher de développer, au mieux, au rythme d'un strip par semaine.
Au pire, suivant l'insparation, et surtout l'humeur...
Les origines, tout de suite :
Au pire, suivant l'insparation, et surtout l'humeur...
Les origines, tout de suite :
*A suivre, sur mon compte Pixton : http://www.pixton.com/qc/hectorvadair
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Hard clouds over the hills
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Musée des effets spéciaux et des miniatures à Lyon : du grand art.
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Ce n'est pas Predator. Saura-tu trouver qui ? |
J'ai profité de ces congés de Mai pour aller visiter le musée des effets spéciaux et des miniatures , quartier Saint-Jean, à Lyon.
Un musée privé, fondé par Dan Ohlmann, ébéniste de métier, et idéalement situé dans la maison des avocats, datant du XVI siècle.
Sur quatre étages, plus la cave, on entre dans un univers incroyable.
Imaginez : arrivés par la rue longeant l'arrière du Palais de justice, on va descendre des vieilles marches pour découvrir sous une voûte humide l'ambiance XViieme reconstituée du film "Le Parfum". Atelier, rues de marché, parfumerie, … C'est radical, sombre et glauque, et bourré de détails, la plupart tirés du film original.
Imaginez : arrivés par la rue longeant l'arrière du Palais de justice, on va descendre des vieilles marches pour découvrir sous une voûte humide l'ambiance XViieme reconstituée du film "Le Parfum". Atelier, rues de marché, parfumerie, … C'est radical, sombre et glauque, et bourré de détails, la plupart tirés du film original.
En montant ensuite les escaliers, c'est une collection impressionnante d'effets spéciaux, tous ramenés des studios américains ou européens qui nous sont présentés : Star Wars, Alien, Terminator,… ils sont tous là. Science-fiction ou pas, l'immersion est efficace. (Et quelques effets gores à déconseiller aux âmes sensibles !)
...Voir aussi des costumes "fait main" tirés de péplums comme La 5eme légion, Gladiator, ou Troie ne lasse pas indifférent.
Non, ce n'est pas LA vrai galerie ! |
Après avoir franchi deux étages via un balcon donnant sur un jardin intérieur, vient le tour des miniatures, et à, c'est incroyable : que ce soit des scènes de la vie courante et ancienne reconstituées en réduit, dans leur écrins, ou des meubles anciens, des porcelaines, des mobiliers laqués... tout est lilliputien, et on se demande parfois comment un tel travail peut-être possible. Seules quelques poupées, plus vraies que nature, redonnent (à peine) un air de grandeur à tout cet univers minuscule, limite angoissant.
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A cup of tea ? |
Divers artistes internationaux sont exposés, et les superbes décors de Dan Ohlmann raviront toutes celles et ceux qui aiment à la fois, l'histoire, la culture, l'architecture,… car la plupart des bâtiments présentés ont déjà disparus ou sont fermés aux particuliers.
Du "grand" art, pour des miniatures de toute beauté.
Et un musée, pas si connu que ça, à découvrir, vraiment !
Et un musée, pas si connu que ça, à découvrir, vraiment !
Le site officiel, avec pas mal de photos :
http://www.museeminiatureetcinema.fr/accueil.html
Les trois photos de cet article : (CC-BY-NC-SA Hectorvadair)
Les trois photos de cet article : (CC-BY-NC-SA Hectorvadair)
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Pourquoi Oblivion a réussi, là où Les Ames vagabondes ont échoué ?
Pas mal de films de science-fiction en ce début d'année 2013. ...Certains se suivent, et se ressemblent.*
Ceux qui auront vu les deux films du sujet de cette note, sortis à une semaine d'intervalle (Oblivion ayant l'avantage de la première semaine), ne seront qu'à peine surpris de leur résultat au box office, imparable :
> Dés la première semaine, (du 10 au 16 Avril) Oblivion comptabilisait 598 000 entrées en France, alors que les Ames n'en comptaient que 350 396 au bout de deux semaines !
Oblivion comptabilise 1149 400 entrées début Mai, alors que son concurrent quitte l'affiche.
Pourquoi ?
En premier lieu, on pourra y trouver une explication de goût, ou d'à priori : Stéphanie Meyer s'étant fait connaître avec "Twilight", série romanesque puis cinématographique plutôt dirigée vers les publics adolescents, les aficionados adules, férus de SF se sont certainement moins sentis inspirés par cette nouvelle adaptation. Ceci expliquant sans doute le départ moins impressionnant du box office.
C'était peut-être une erreur, puisque, ayant moi-même suivi, pas très motivé ma fille de 14 ans, je n'ai pas regretté mon choix.
Les âmes vagabondes s'est révélé être une bonne surprise. Ce film reste un film de science-fiction. Et s'il peut faire beaucoup penser à The Island, de Michael Bay (2004) , par ses décors (le désert), son atmosphère paranoiaque et l'aspect "clone" des humains qu'une race extra-terrestre à "réduit en esclavage", (en fait, celle-ci remplace leur âme une fois ceux-là morts), et les scènes de course poursuite.. cela n'enlève rien à l'originalité restante du scénario, où l'auteur donne à voir une histoire d'amour entre deux races différentes (ce n'était pas du tout le cas dans the Island).
Mais ce point n'est pas le seul atout du film, (...)
puisque partant du principe que la planète Terre a été envahie, Stéphanie Meyer nous propose une réflexion sur la possibilité de vivre à plusieurs ensemble.
Que dire de sa conception de la mort et du "voyage" des âmes, qu'elles soient nôtres ou pas... et le fait que nous ne mourrons pas vraiment au final, si notre identité (notre force*) est vraiment caractérisée. Chacun y trouva matière à réflexion.
puisque partant du principe que la planète Terre a été envahie, Stéphanie Meyer nous propose une réflexion sur la possibilité de vivre à plusieurs ensemble.
Que dire de sa conception de la mort et du "voyage" des âmes, qu'elles soient nôtres ou pas... et le fait que nous ne mourrons pas vraiment au final, si notre identité (notre force*) est vraiment caractérisée. Chacun y trouva matière à réflexion.
(*Force que beaucoup auraient du avoir, afin de rompre leur réticence à visionner ce film. Glup.)
D'un autre côté, "Oblivion" possède d'entrée les codes du bon film de SF à gros budget et l'affiche adéquate. Son casting avec Tom Cruise reste cependant son talon d'Achille. Mais même si certains sont allés à reculons voir un énième film avec un acteur étiqueté scientiste, Tom Cruise garde cependant un potentiel séduction important. On se souviendra en effet longtemps de ses réussites dans Minority report ou Mission impossible.
Le réalisateur Joseph Kosinsky n'est pas un des plus connus d'Hollywood, lui qui vient plutôt du monde du jeu vidéo. Mais sa propre adaptation de son début de roman graphique a attiré les studios, qui lui avaient d'ailleurs déjà confié l'adaptation de Tron l'héritage.
(Voir à ce sujet la critique sympa de Piwi sur : http://piwithekiwi.blogspot.fr/2013/04/oblivion.html)
La photographie du film est magnifique, et on y retrouve la beauté rencontrée précédemment dans Prométheus de Ridley Scott. (Claudio Miranda vs Dariusz Wolski).
Quant au scénario, celui-ci se révèle différent, quoi qu'avec pas mal de parallèles, des Ames vagabondes.(attention : spoilers !!)
Dans les deux cas, la Terre a été "envahie"; d'une manière pacifiste d'une part (les Ames), plus brutale de l'autre (conflit guerrier et anéantissement physique).
Dans les deux cas, les survivants terriens se cachent dans des sous-terrains ou blokhaus, et il paraît difficile après visionnage des deux films, de se remémorer facilement quels sont les acteurs de l'un, de l'autre, et où il se cachent, tant les détails d'entremêlent.
Si : dans "les âmes", on a un superbe décor désertique et une montagne dont le "toit" s'ouvre pour permettre la culture du blé.
Dans Oblivion, c'est une zone soit-disant irradiée qui sert de refuge aux terriens survivants, dans une grotte aménagée, où ceux-ci se masquent afin de se faire passer pour une autre race extraterrestre. (Belle idée)
Et c'est sur ce point qu' Oblivion fait beaucoup plus fort, et semble plus adulte dans sa conception, car il se joue dés le départ, et pratiquement jusqu'au bout des spectateurs, en créant un voile qui cache la réalité. Au héros comme aux spectateurs. Là où les âmes vagabondes ne tisse au final qu'un scénario assez classique de bons et de méchants, avec une belle histoire d'amour, qui renverra les plus âgés vers l'univers encore plus édulcoré de Walt Disney.
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Etre mort, c'est rêver de partir ailleurs ? |
Oui, je suis dur, mais il fallait bien démontrer le caractère science-fiction plus sérieux d'Oblivion, qui ne prend pas la main du spectateur, mais le laisse un peu se poser des questions.
La trame des Ames vagabondes rentre davantage dans le cadre d'une fable, où même la notion de sacrifice au final n'en est pas une, puisque l'héroïne extra-terrestre trouve un nouveau corps pour l'héberger.
Oblivion, quant à lui propose un sacrifice final bien réel. (Pour survivre, il faut mourir, et faire mourir son ennemi : ...une idée toute djihadiste ?) ...bien que Hollywood propose le remplacement du héros par son clone.
Mais on admettra que cette conclusion n'a pas la même saveur en bouche et laisse beaucoup plus de d'amertume et de réflexions aux spectateurs, que l'autre film.
Voilà pourquoi d'après moi, Oblivion a su tirer son épingle du jeu, malgré un terreau assez proche, des dates de sortie quasi identiques, et un tapage médiatique moins important que son concurrent.
Merci de votre lecture.
(*) After earth est à peine sur les écrans, et je me dis qu'avec le comics "Prophet" au scénario quasi identique (une adaptation déguisée ?), et les films sus-cités, l'idée de Terre abandonnée, détruite, et des humains devant trouver une attitude adaptée, fait son chemin en ce moment...
Normal, vu la conjoncture ? Normal.
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Medz Yeghern : le génocide arménien, pour ne pas oublier.
Medz yechern, Le grand mal
Pablo Cossi
Dargaud
2009
Un roman graphique qui explique le génocide arménien, perpétré par l'armée turc dans l'empire Otoman, entre 1945 et 1916, sous couvert du conflit mondial déclenché, cela est assez peu banal.
Nos manuels scolaires français ont beaucoup plus abordé l'histoire de l'holocauste du peuple juif durant la seconde guerre mondiale, et cela me paraît être suffisamment injuste pour remettre en lumière ce travail de divulgation.
J'avais personnellement loupé ce titre à sa sortie, et l'ai redécouvert récemment via ma médiathèque locale.
Pablo Cossi est un auteur italien, et les documents qu'il a consulté pour concevoir cette adaptation sont historiques. Le récit qu'il nous raconte, suit trois angles de vue différents :
Celui d'un jeune soldat allemand qui va photographier à l'époque ce qu'il voit et témoigner;
- La tentative de résistance du peuple arménien à la déportation et l'anéantissement presque total de son peule par la volonté des trois ministres : Mehmet Talaat Pacha, Ever Pacha, et Ahmed Djmal pacha;
- Et enfin le procès du jeune Sogoman Tehlirian, un des rares survivants, jugé pour l'assassinat de Tallât Pacha survenu après guerre.
Si le dessin de Cossi n'est pas un des plus inoubliable de l'univers BD européen, il est cependant très aéré et très doux, se prêtant donc particulièrement bien aux horreurs que le récit nous décrit. Une sorte de doux-amer.
Certaines scènes sont très dures, d'autant plus qu'elles sont issues de faits avérés.
Ce roman graphique est donc à réserver en priorité aux adultes.
Une oeuvre de mémoire. A lire, absolument.
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Une nouvelle salle culturelle sur la côte roannaise
Attendue depuis plus de quatre ans, lors du projet de mandat de la dernière équipe municipale en place à Renaison, la nouvelle salle culturelle est enfin sortie de terre et s'apprète à être inaugurée très prochainement.
Ce sera un lieu où concerts et manifestations populaires, répétions, pourront avoir lieu, en complément de la salle ERA classique, dans le bas du village, qui sera désormais réservée aux seules manifestations sportives normalement.
Un plus indéniable pour Renaison, pour l'ensemble de la côte roannaise, et oserais-je dire... pour le roannais.
Comme vous pouvez le constater sur ces clichés, ce bâtiment a été plutôt bien conçu et pensé, avec une intégration particulièrement réussie dans le paysage.
On la distingue d'ailleurs presque à peine en arrivant derrière la ferme Collet.
> Inauguration le 28 Juin, dans le cadre de la fête de la musique.
Renseignements mairie de Renaison : http://www.renaison.fr
Une intégration environnementale réussie photos : ©hectorvadair |
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La route : lorsque les hommes tombent vraiment bas, les arbres en font de même…
Vu récemment "La route" (2010), superbe film post-apocalyptique de John Hillcoat, d'après l'oeuvre de Cormac McCarthy (2006, et prix Pulitzer en 2007).(1)
C'est avec plaisir que je visionnais ce DVD, ayant loupé l'occasion de sa sortie au cinéma.
Ce film sobre mais efficace évoque par moments la série Walking dead (premier comics en 2003, séris TV : 2010), tant dans les décors et les couleurs : gris, comme la cendre qui recouvre tout, et comme le vide et la tristesse d'un monde décomposé.
Mais là où la série de zombies garde beaucoup de traces de vie (animaux, femmes, enfants, climat normal), la Route nous entraine plus loin dans la désolation, car ici, après une explosion que l'on devine nucléaire, toute la végétation a disparu et les arbres sont morts. Plus d'animaux non plus : mammifères, oiseaux, mêmes insectes…
Bref, plus de nourriture, ni végétale (céréales) ni animale.
Les quelques rescapés en sont réduits, pour survire, à tuer et manger les plus faibles.
C'est dans ce contexte difficile et sans grand espoir, qu'un homme et son fils (Superbes Viggo Mortensen, et Kodi Smit-McPhee) tentent de survivre. Poussant dans un caddie le peu qu'ils récupèrent le long de cette route, ils tentent de rejoindre le sud, et la mer.
De temps à autres, leur périple croise d'autres hommes, souvent des prédateurs, qui n'hésitent pas à chasser leurs prochains comme de vulgaires loups affamés, en meute, mais aussi quelques solitaires, perdus comme eux, qui n'ont rien, et qui seuls, ont "gardé le feu".
Garder le feu, c'est à dire, garder un peu d'humanité dans ce décor et cette vie de cauchemar, où l'on ne sait dans combien de temps la mort viendra frapper (par la faim, par le froid, …car le soleil, bloqué par les cendre, ne passe plus; ou le crime).(2)
A un moment, au milieu du film, le duo sort à peine d'une petite forêt, et remarque au sol de grandes taches de sang, lorsqu'ils sont alertés par des cris. Une bande de tueurs poursuit, machette à la main une jeune femme et son enfant, effrayés. Alors que les deux héros font marche arrière, dans un instinct de survie (ils ont en effet échappé de justesse quelques scènes auparavant à un massacre du même genre, dans une vieille bicoque où d'autres tueurs se nourrissaient de personnes, gardées décharnées enfermées au sous-sol), et que l'on entend mais on ne voit pas (par pudeur) les machettes s'abattre sur les pauvres hères, il se produit un évènement étrange :
Un bruit assourdissant se fait entendre, comme pour faire écho à ces cris et ce déchainement de terreur : un bruit suivi d'un autre, une sorte de tonnerre…
Ce sont des arbres, très hauts, qui se mettent à tomber autour d'eux. les obligeant à se coucher à terre, sous un des premiers troncs abattus.. jusqu'à ce que ce balais terrifiant cesse.
A cet instant, que je qualifierais de magique, et poétique à la fois, j'ai vu le sens de cet enchevêtrement : les hommes sont tombés si bas, que les arbres en font de même…
Plus prosaïquement, ces grands arbres que plus rien n'alimente : ni soleil, ni pluie, ont séchés sur pied et leurs racines ne peuvent plus les soutenir.. c'est un spectacle que Cormac Mc Carty a du se souvenir ou vivre lui-même lors de suite d'incendies aux états-unis, pays où l'on sait les ravages causés par le feu chaque été.
Ce souvenir posé là, à cet instant précis fait de cette scène l'une des plus belle du film.
(2) Un peu plus loin pourtant, l'enfant ramasse un coléoptère, chose étrange dont il ignore tout, car il est né alors que les incendies avaient commencé, et ce dernier prend son envol : symbole fort d'un renouveau, d'un début de nouvelle vie possible.
De plus, à la fin, alors que le père et son fils atteignent la plage, un orage tonne au loin, de plus en plus menaçant. La pluie va apparemment venir, et avec elle, le grand nettoyage, et la vie.
Malgré que l'un d'eux vient de mourir… l'espoir est alors à nouveau permis.
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Spirou faire vendre Bordeaux
Où l'on reparle (une fois n'est pas coutume) de la célèbre revue belge, qui, alors que l'on fête ses 75 ans (et ceux de son héros groom rouge au calot) continue de proposer de superbes sommaires et son tour franco-belge.
Pas mal de surprises régulières, et des séries que l'on se plait à retrouver au fil de semaines.
Spirou s'adresse vraiment aux anciens et aux plus jeunes, c'est ce qui fait sa force.
Le numéro 3929était un spécial Schtroumpfs et Schwartz nous a gratifié d'une très sympathique couverture, mettant en scène les petits hommes bleu malicieux, jusqu'à défaire le titre ! :-)
Mais le spécial Bordeaux du n° 3932 dépote.
Car oui, il est clair que cette ville EST la ville de la bande dessinée (et du Rock !?), avec (selon les sources 40 à 80 auteurs locaux), qui, comme pour les autres n° "Spirou tour", soit proposent une histoire (souvent déjantée), soit des bons plans dans ou autour de la ville.
Et rares sont les (minis) récits ou planches qui déméritent dans ce numéro.
En ce sens, l'hommage non sensique aux Belles histoires d'Oncle Paul "Le fleuve de l'or rouge", 3pages, est d'un goût particulièrement savoureux. Il fallait quand même avoir le talent (et la folie ?) d'un Gerineau (les Stryges), pour penser et s'atteler à cette version revisitée de "A l'ombre des derricks", façon extraction de vin. Très drôle.
Quant à Hervé Bourhis, ses deux pages sur la ville et ses infos plus ou moins vraies sont aussi délicieuses.
Bref, au final, Bordeaux peut dire merci à Spirou et aux belges ! On a vraiment envie d' y aller.
(Comme la plupart des villes du Spirou tour d'ailleurs : Liège, Bruxelles, Lille, Paris, Lausanne, Lyon, Montpellier, Bordeaux.)
Lire la revue en ligne sur Iznéo :
http://bdcomics.izneo.com/journal-spirou-n-3932-tome-3932-A10230
Pas mal de surprises régulières, et des séries que l'on se plait à retrouver au fil de semaines.
Spirou s'adresse vraiment aux anciens et aux plus jeunes, c'est ce qui fait sa force.

Mais le spécial Bordeaux du n° 3932 dépote.
Car oui, il est clair que cette ville EST la ville de la bande dessinée (et du Rock !?), avec (selon les sources 40 à 80 auteurs locaux), qui, comme pour les autres n° "Spirou tour", soit proposent une histoire (souvent déjantée), soit des bons plans dans ou autour de la ville.
Et rares sont les (minis) récits ou planches qui déméritent dans ce numéro.
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Final (page3) du Fleuve de l'or rouge ©Dupuis/Guerineau |
Quant à Hervé Bourhis, ses deux pages sur la ville et ses infos plus ou moins vraies sont aussi délicieuses.
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Page 2 (final) de "Passion Bédée" ©Dupuis/Bourhis |
(Comme la plupart des villes du Spirou tour d'ailleurs : Liège, Bruxelles, Lille, Paris, Lausanne, Lyon, Montpellier, Bordeaux.)
Lire la revue en ligne sur Iznéo :
http://bdcomics.izneo.com/journal-spirou-n-3932-tome-3932-A10230
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Service public et Bande dessinée adulte : un triste fossé
La médiathèque de Roanne possède un important et intéressant fonds de Bande dessinées. Cela a déjà fait l'objet de deux notes dans ce blog.
Cette année, la structure communique dans sa plaquette Nov/décembre 2013, en annonçant "Un important cycle autour de la bande dessinée".
A la lecture de ces paragraphes et des illustrations les accompagnant, (voir ci-à côté) on peut cependant ressentir un sentiment de lassitude, et se poser la question de savoir quand la médiathèque de Roanne prendra conscience de l'existence du média Bande dessinée pour adulte, et quand le public du bassin roannais pourra compter sur cette structure centrale pour lui proposer un cycle digne de ce nom, mettant en avant la richesse des oeuvres littéraires de son fonds adulte ? (De romans graphiques par exemple ?)
Il y aurait matière à exposition, à découverte d'auteurs, à conférence…
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"Bienvenus les enfants dans le monde merveilleux de la BD !" |
En attendant, il faudra se contenter d'une exposition jeunesse, d'un spectacle de ... marionnettes (?)... , et de la présence d'un.. bédéiste (quel mot vulgaire), qui n'apporteront rien de neuf à l'idée que le grand public se fait de ce média. C'est à dire une littérature quasi exclusivement réservée aux enfants.*
…Titeuf, Petit Spirou, "titi et toutou" ont encore de beaux jours devant eux grâce au service public, qui dans ce cas là, ne fait pas franchement le travail que l'on serait en droit d'attendre de lui en terme de médiation autour du livre.
(* Sans oublier ceci dit un atelier ados multimédia bienvenu, mais surnageant un peu seul au milieu de ces animations purement jeunesses) Voir : http://www.bm-roanne.fr/
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Broc & BD : comme un air de fête sur le roannais avant l'arrivée de l'hiver.

La programmation musicale était assurée par des formations locales, (Saxafond, Andco, Silvertone, Les Embarqués, Big band du Siemar, Cream in hell, Half moon, et Sibaretas), et la grande originalité a été de se faire côtoyer des musiques, qui bien que n'ayant pas l'occasion de trop se côtoyer habituellement, ou peu, ont toutes révélées leur aura, car jouées avec passion et talent.
Les publics ont apprécié, les artistes de même, et les organisateurs aussi.
Bref, une réussite qui fait chaud au coeur à bien des égards, pour notre ville roannaise si souvent prise à défaut en terme de cultures populaires.
Cette réussite, prévisible, vu le manque dans ce domaine (pas de magasins d'occasion sur le roannais, pas de scène de groupes locaux, plus de disquaires…), ne doit pas faire oublier que pour un tel résultat, il est cependant nécessaire d'avoir un (très) bon carnet d'adresse, de l'expérience, de la motivation, et une humeur joyeuse. (Et des nerfs d'acier ?)...Rendez-vous est pris pour l'année prochaine !!
(* : Papillon bleu, Canal Jazz, Pollens, Entrepôtes)
Samedi et Dimanche 12 et 13 Octobre , on monte sur la côte roannaise, à Ambierle, pour un autre évènement à ne pas manquer :
Le deuxième salon de la Bande dessinée et de la science-fiction, organisé par le village du livre et ses partenaires.
Une très belle affiche d'invités cette année, (Philippe Luguy, Fred Campoy, Stéphane Djet, Afif Khaled, Guillaume Griffon, Alep, Valérie Simon, Christian Chavassieux, Daniele Martinigol...), qui viennent quasiment tous avec une nouveauté à dédicacer.
Et donc la promesse d'un week-end autour du livre, des arts graphiques et de la SF, de qualité.
Et ce sera (aussi) l'occasion de découvrir le nouveau numéro du journal Guère épais, avec la suite et fin de l'épisode du Toine"A side car story".
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Décollage pour le deuxième festival bande dessinée et Science-fiction d'Ambierle.
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Du papier sculpté. Mais attention à ne pas se faire.. mâcher. |
Au moins trois articles de bonne facture pour la deuxième édition de ce festival des 12 et 13 Octobre 2013, (voir ci-en bas), qui confirment sa réussite cette année.
C'est un hommage mérité.
A mon humble avis, les point forts :
La salle est adaptée, avec un espace permettant de nombreux stands et des expositions; la baie vitrée permet une vue plongeante agréable sur une partie de la côte roannaise... (On pourrait même y voir la baie d'un tableau de bord de navette spatiale !?)
Le Franco-belge jouait des coudes avec les comics, et un peu le manga, le cartonné et le souple.
... Le roman, et le livre illustré côtoyaient la bande dessinée. C'était un salon très ouvert.
On aurait souhaité cependant une exposition de Luguy un peu mieux mise en valeur (de simples grilles métalliques), .
..mais les autres expositions ont apporté un plus indéniable cette année. (Merci entre autre à Philippe Grenier des Héritiers de la force de Cusset, à Michael Robert des Gardiens de la SF de Roanne, et au talentueux sculpteur en papier mâché (en carton en fait !) David Gaurand, pour leur partage de collections et leur enthousiasme.)
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©Pat Biesse/Tinystarwars |
Car ce salon, c'est aussi et surtout ça : se rencontrer entre amateurs et passionnés, et discuter, jusqu'à plus soif (avec modération). Et pouvoir bien sûr partager de même avec les visiteurs moins passionnés, mais intéressés. Et en plus, les auteurs de talent étaient nombreux et aptes à la dédicace.
...Que demander de plus ?
Une troisième édition au moins de ce niveau !
Plus de photos sur la page Facebook des Gardiens de la science-fiction., qui organisent de leur côté un salon fin Novembre à Roanne, espace congrès. Ne le manquez pas !
Celles de cette page : CC Hectorvadair.


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14-18 : la grande guerre dans la bande dessinée, un ouvrage incontournable.
Tombé ce jour à la médiathèque de Roanne sur cet ouvrage très bien fait et documenté, "La grande guerre dans la bande dessinée", (normal, il s'agit du livre édité à l'occasion des deux expositions temporaires Tardi et mobilisation générale 14-18 dans la bande dessinée à l'Historial de la Grande Guerre, Péronne, (Somme, Picardie), chez Cinq contients éditions, Avril 2009
Voir :
J'ai été surpris de le découvrir, car il y a quelques mois, recherchant justement des informations bibliographiques sur ce sujet précis, (n'est-ce pas Eric ?), j'ai écumé les sites web, ai trouvé de nombreuses choses, mais pas cet ouvrage, à la bibliographie (française, allemande et anglo-saxone) en fin de volume, quasi exhaustive.
Je vous conseille donc son achat si vous êtes intéressés par le sujet, et renvoie aussi sur d'autres espaces web documentés :
De plus, retrouvant sa trace aujourd'hui grâce à son titre, je tombe sur ce site de profs d'Histoire géo*, proposant aussi un autre ouvrage sur le même sujet, paru un an plus tôt : "14-18 dans la bande dessinée"
http://clio-cr.clionautes.org/14-18-dans-la-bande-dessinee-images-de-la-grande-guerre-de-forton-a.html#.Umqp2hYZ1Bu
(*) Un autre site spécialisé qui intéressera les amateurs d'histoires et de bande dessinée, sans aucun doute.
... Je n'ai pas lu ce titre à ce jour, mais il me semble bien moins complet que celui de 2009, n'abordant que les bandes françaises :
(Ed CHEMINEMENTS, collection : La Bulle au carré Sortie : Octobre 2008)↧
Gravity : il faudra bien un jour couper le cordon
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Beaucoup de scènes avec cordon... |
Nous sommes des poussières d'étoiles.
01h15 de stress en apesanteur parsemé cependant de traits d'humour, (merci Clooney), avant la délivrance dans notre or bleu : l'eau.
Sandra Bullock, (plutôt bonne interprétation), tel un fœtus dans sa première capsule de secours a la chance de renaitre une deuxième fois grace... aux chinois (et a un extincteur) > La ressource n'est pas toujours là où l'on croit.
...Ensuite, il faudra réapprendre à marcher.
Un beau film.
A écouter : Un son de 1971 qui me semble bien adapté à la fin du film, lorsque l'actrice sort choquée de sa capsule, après avoir failli se noyer dans un lac perdu au milieu de nulle part; puis rejoint la rive, et s'agrippe aux herbes et à la terre meuble, épuisée... avant de se mettre à genoux, puis sur ses jambes... hébétée.
(The grass, Pretty things, 1971)
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Nos origines terriennes viennent de l'eau. |
Gravity, D'Alfonso Cuaron, sorti le 23 Octobre 2013
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Modification du blog
Le blog d'Hectorvadair, débuté en Décembre 2005 dans sa toute première version, le Blog d'Hector, a vécu pas mal d'aventures, et d'autres petits frères et soeurs sont nés depuis : musique, bande dessinée, cinéma… un peut tout et le reste.
L'envie forte de partager, qui m'habite depuis très longtemps.
Entre temps, deux sites web ont aussi été créés : Rockaroanne et Wrightson in french, qui ont vite évolués.
Le tout se télescopant, se faisant la concurrence, jusqu'à devenir malheureusement presque invisible.
Il était temps de faire quelque chose.
"Hectorvadair's", sera donc dorénavant le portail de toutes ces publications.
> 19 Novembre 2013. En cours de modification...
L'envie forte de partager, qui m'habite depuis très longtemps.
Entre temps, deux sites web ont aussi été créés : Rockaroanne et Wrightson in french, qui ont vite évolués.
Le tout se télescopant, se faisant la concurrence, jusqu'à devenir malheureusement presque invisible.
Il était temps de faire quelque chose.
"Hectorvadair's", sera donc dorénavant le portail de toutes ces publications.
> 19 Novembre 2013. En cours de modification...
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